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  • : Le blog des moniteurs et des élèves
  • : Un blog pour les moniteurs, mais aussi pour les élèves conducteurs, pour permettre aux premiers d'exercer enfin librement leur métier (leur art!), et offrir aux seconds un enseignement de qualité, à moindre frais, dans une relation de confiance et de liberté.
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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 18:13

Cela se passe cet après-midi. Par le plus grand des hasards, et une petite pincée de chance, je me retrouve assis en face de quelqu'un qui, pour une fois, n'est pas une personne “ qui n'y peut rien ”, “ qui suit les consignes ”, “ qui va aller voir dans l'informatique ”, bref un de ces quelques uns qui veulent bien tout, sauf prendre la moindre initiative, ou le moindre risque. Nous mourons tous de cette peur qui étrangle la plus lueur d'imagination.


Merveilleuse occasion de parler de ce qui se passe en ce moment dans le milieu de l'auto-école, ce mouvement des moniteurs qui veulent enfin tenter d'être maitres de leur travail et de leur vie professionnelle.


Que veulent-ils ?


Pouvoir enseigner librement, à des élèves qui les choisissent, qui peuvent les quitter librement, et qu'ils pourront quitter tout aussi librement. En un mot, mettre un terme au monopole de fait des auto-écoles, qui tient à deux choses : agrément préfectoral et attribution des places d'examen.


A quoi sert cet agrément préfectoral ? A garantir la qualité, entre autres des locaux, et à interdire que les cours soient dispensés dans des lieux inadéquats – il y a incompatibilité, par exemple, entre Licence IV et auto-école... Ce qui n'empêche pas que, dans de nombreux cas, il n'y ait pas encore de séparation physique entre “ salle de cours ” et bureau d'accueil des visiteurs, que les locaux ne disposent pas de toilettes, ou que les “ salles de cours ” soient mal éclairées ou mal aérées.

Qu'importe, me direz-vous, ces fameuses “ salles de cours ” ne sont que des salles de projection où tournent en boucle les vidéos de séries de 40 questions à correction automatique qui sont censées assurer l'enseignement du code de la route. De plus, et de l'aveu même des “ exploitants ”, les forfaits-code sont une source non négligeable de revenus liés à de faibles dépenses, puisqu'on n'immobilise pas d'enseignant dans la salle pendant que tourne la vidéo. Et c'est pourquoi il n'est pas question de laisser l'Éducation nationale s'emparer de cet enseignement.

Qu'on ne vienne pas alors nous parler de qualité pédagogique et d'investissement dans les méthodes d'enseignement dans de telles conditions.


Pour notre part, nous réclamons que soit appliquée la loi : véritable enseignement, et de qualité, et par des professionnels diplômés, tout simplement.


Et les places d'examen ?

Elles sont attribuées, non aux candidats, mais aux auto-écoles (suivre ce lien, tout à fait significatif). C'est ainsi que ce sont elles qui décident, sans le moindre contrôle, qui peut, ou qui ne peut pas aller passer l'examen théorique ou pratique. Cela leur permet de choisir, sur des critères qui restent aussi inconnus qu'invérifiables, leurs candidats.

On pourrait s'en féliciter. N'iront ainsi à l'examen que les bons éléments, voire les meilleurs, avec des résultats garantis. Et ce n'est pourtant pas le cas puisque les résultats oscillent, suivant les modes de formation et les profils socio-économiques des élèves, de 25% à 75% de chances de réussite à l'examen pratique à la première tentative. C'est à dire que les auto-école, compétentes en tout, peuvent se tromper sur la qualité et l'efficacité de leur enseignement dans les trois-quarts des cas.

Cette situation est incompréhensible en apparence seulement. Car si les élèves acceptent sans trop protester de faire les 20 heures de leçons obligatoires, c'est parfois pour eux un véritable sacrifice (financier ou personnel) d'avoir à faire plus, et, dès la 25ème heure, ils font le siège “ pour avoir une place ”. Et l'auto-école passe une partie de son temps à gérer les états d'âme des élèves, et à distribuer des places d'examen toujours trop rares à des candidats qui veulent aller “ tenter leur chance ”.


Si les places d'examen étaient données au candidat, les choses seraient infiniment plus simples.

A l'inscription (directe) des candidats, on propose deux ou trois délais pour les épreuves théorique et pratique (6 mois, 9 mois ou 12 mois, ou autre pour l'AAC). Dans un délai d'un mois, après les tests pratique et théorique nécessaires auprès d'un professionnel (auto-école ou pas), les dates de passage sont confirmées. C'est ainsi l'élève qui devient responsable du bon déroulement des opérations, de son calendrier, de son travail, de sa progression.

Et comme l'auto-école n'a plus de moyen de pression sur ses élèves (et réciproquement), elle peut se consacrer à l'enseignement. Elle peut aussi refuser des élèves, en accueillir d'autres établissements, faire passer des examens blancs aux élèves des collègues sans entrer en concurrence avec eux, et les moniteurs qui veulent enseigner librement peuvent aussi offrir leurs services hors de la situation de salarié d'un établissement agréé.


Bien entendu, ce système a des défauts, le premier étant qu'il soit nouveau, et donc qu'il oblige à se remettre en cause. Si on en juge par le discours habituel des auto-écoles, ce n'est pas chose facile. De plus, il fait craindre une perte de contrôle qu'exercent ensemble administration et auto-écoles sur un système dont tout le monde dit le plus grand mal, mais qui protège trop d'intérêts de de situations acquises. Cela ne marche pas, personne n'est content, mais les élèves, plus tard, oublient de quelle façon ils ont été traités, parfois rançonnés, et même humiliés.


Bref, il y a encore du travail à faire, et des gens à convaincre. A commencer par les premiers intéressés, ces moniteurs qui, au bout de cinq années d'exercice, vont chercher ailleurs un autre travail. Il est vrai qu'au SMIC, ou à peine plus, contraints aux heures supplémentaires et au travail au noir, il est bien difficile, même si on aime son métier, de croire en l'avenir.


C'est pourtant notre cas.


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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 06:22

Il suffit d'ouvrir la dernière page parue pour se rendre compte qu'elle est tout simplement indéchiffrable.

 

Une petit modification, et hop! Cela me semble meilleur.

 

Bon courage à tous.

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 07:41

J'aime bien aller trainer mes guêtres du côté du palais de justice. C'est là que les tribunaux correctionnels (ou plutôt les chambres correctionnelles des tribunaux de grande instance) exercent le difficile et périlleux devoir de rendre la justice. Très précisément, c'est là que les victimes doivent recevoir une juste compensation des préjudices subis, que la société (via le Parquet) veille à ce que la loi soit respectée, que les délinquants sont punis comme il convient pour avoir fauté...


La réalité est tout de même beaucoup moins élégante que la rédaction du code de procédure pénale. Deux policiers viennent réclamer (ils obtiendront dans les 200 ou 300 euro) réparation pour le préjudice qu'ils ont subi (“ outrages ” -fils de p..., va te faire enc...- et “ menaces de mort ” -si je te retrouve je te...), un procureur évoque ces “ épouses de policiers qui, la peur au ventre, voient leur mari aller prendre leur service ” et pensent aux “ individus dangereux ” qu'ils vont rencontrer. Quant au personnage à l'origine de tout cela, c'est un de ces milliers de déracinés, de divorcés, de chômeurs en fin de droits, de bousculés de stages en formations, de dérivants de virées en virées, ce soir là, comme déjà d'autres fois, sérieusement aviné après avoir fêté un anniversaire...

Amende. Prison avec suris et mise à l'épreuve. Obligation de soins (pour la bouteille). Obligation de poursuivre une formation. Mais qui encadrera et appliquera tout cela?


Autre salle d'audience. Beaucoup moins de monde, ambiance plus feutrée. On y appelle quatre personnes, une seule est présente, s'avance vers le juge. Stupeur. Cette personne va prêter serment, en tant qu'employée d'une société (privée) d'autoroute, et se voir ainsi autorisée à constater (en vue de leur répression) certaines infractions au code de la route, en particulier le R-412 (ou suivants) sur la ceinture de sécurité, tellement facile depuis une cabine de péage.

En un mot, c'est une nouvelle “ externalisation ”, une sous-traitance des prérogatives de l'État, en l'occurrence de la Police nationale ou de la Gendarmerie, un nouvel abandon qui ne peut qu'attrister ceux qui ont une certaine idée de la République, comme un certain autre avait une certaine idée de la France.

Parallèlement, cela étend et brouille de manière substantielle le domaine de la “ peur du gendarme ”, la transformant en “ peur de tout le monde ” puisque votre voisin, votre voisine peut très bien vous dénoncer ou vous piquer trois points sur votre permis, avec une amende en prime.


Encore un bon sujet de conversation pour les repas de famille.

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27 mars 2010 6 27 /03 /mars /2010 17:10

Nous avons une chance folle, nous disposons d'une armée qui sait créer ses propres armes, une armée qui tire sur l'ennemi avec des concepts, et qui invente, dès que l'occasion se présente, de nouveaux mots pour habiller ces nouveaux concepts et les rendre encore plus efficaces.


Il en est ainsi de la conduite dite "supervisée".

 

Interrogée par une intervenante d'un forum à ce sujet, je lui ai directement répondu, mais il ne me paraît pas inutile d'en faire profiter le maximum de lecteurs.

Cette conduite supervisée est évoquée dans le projet de réforme du permis de conduire présenté par M. Fillon il y a un peu plus d'un ans, et d'application prévue à la fin de juin 2009. Six mois de retard au moins, mais on a eu d'autres chats à écorcher entre-temps. Il s'agit de la mesure N°3.

 

Il s'agit de développer la pratique de la conduite accompagnée chez les plus de 18 ans, pratique extrêmement rare bien que de meilleur effet sur le plan pédagogique. Il faut dire que sont nombreuses les auto-écoles où on dit aux élèves de plus de 17 ans (et a fortiori majeurs) qu'ils ne peuvent pas faire leur formation sous forme de AAC, puisque cela les obligera à attendre longtemps après leur dix-huitième anniversaire pour passer leur permis. En un sens, elles ont raison, puisque que AAC signifie “ apprentissage anticipé de la conduite ”. Comme quoi le choix d'un mauvais terme peut réduire bien des efforts à néant.

 

Par ailleurs, ce n'est un secret pour personne que le délai entre un premier passage de l'examen pratique peut atteindre des proportions qui dépassent l'entendement. Quand la loi dit 15 jours entre deux examens, la réalité répond un ou deux mois avec de la chance, et plus souvent quatre ou six mois. Un sacré bail sans entrainement, à moins qu'on soit décidé à faire une rente à son auto-école en prenant deux leçons par semaine (soit environ 2.000 euro pour six mois) pour poursuivre un apprentissage qui paraissait terminé, puisque l'auto-école (le meilleur juge?) vous avait présenté à l'épreuve...

 

D'où l'idée de génie, mais qui semblait être depuis longtemps du ressort du bon sens: à condition d'avoir fait au moins les fameuses 20 heures obligatoires, et d'obtenir l'accord de l'auto-école, ou après avoir échoué à l'examen, un élève peut entamer une périodes de conduite accompagnée de trois mois minimum et de 1.000 kilomètres minimum, soit juste le temps d'attendre, tout en conduisant relativement beaucoup, une autre convocation à l'examen.

 

 

La mises en place est en cours, du moins on le dit. Il paraît qu'on serait en train de former(?) les inspecteurs, de prévenir les assureurs, de mettre au courant les auto-écoles.

 

Mais c'est entre les mains des élèves que se trouve la réponse. Ce sont eux qui doivent demander l'application d'une telle mesure, d'autant plus que le texte ministériel dit ceci, qui est loin d'être neutre: Rendre ces dispositifs plus attractifs et efficaces : remplacer l'âge minimal de 28 ans pour être accompagnateur par l'obligation de détenir son permis B depuis au moins 5 ans, promouvoir des réseaux d'accompagnateurs hors cadre familial (associations de jeunes retraités, automobiles club, ...

 

A nous tous de jouer.

 

 

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 07:09

J'ai déjà évoqué, dans ce très récent article, le problème du statut d'un “ moniteur indépendant ” qui travaillerait pour le compte d'autres auto-écoles, intervenant pour combler l'absence temporaire ou imprévue d'un salarié, ou pour venir en renfort en cas de surcharge de travail. J'ai comparé cela à la situation des intérimaires dont le sort, en période de crise, est loin d'être enviable. Et j'ai voulu insister sur le fait que cette procédure, que j'ai qualifiée (peut-être un peu vite?) de détournement de procédure, me paraissait à l'opposé de ce que nous souhaitons obtenir, c'est à dire la possibilité d'enseigner librement à des élèves qui n'ont pas de lien avec des auto-écoles qui disposent, alors que rien ne peut le justifier, de l'attribution des places d'examen, et du droit de présenter les élèves à cet examen.

 

Je ne croyais pas si bien dire quand je disais qu'il s'agissait d'une fausse liberté, le poids de la concurrence étant reporté sur le sous-traitant. A midi, en regardant le journal télévisé, j'ai découvert qu'au Portugal, pays où le droit du travail ne semble pas particulièrement développé et protecteur, de très nombreux travailleurs sont transformés en apparents travailleurs indépendants, embauchés à la demande, ne bénéficiant d'aucune garantie de l'emploi, pas plus de droits qui nous paraissent naturels comme les congés payés ou la protection sociale. Cela va même plus loin: un certain nombre de professeurs “ employés ” par l'État, et de nombreux autres “ fonctionnaires ”, se trouvent dans cette situation, éternels vacataires, éternels précaires, embauchés le lundi et débauchés le mercredi, devant présenter chaque mois leur décompte d'heures pour se faire payer, et ainsi exclus de tout projet, de toute perspective d'avenir du fait de leur définitive précarité.

 

De quoi faire réfléchir, y compris ceux qui croient que, comme sur le Titanic, ils pourront se sauver en bousculant les autres. Et même si c'était vrai, c'est là une conception du monde que je me refuse à partager.

 

Bon courage.

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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 15:41

Sur ce forum où on peut discuter de l'épineux problème des moniteurs qu'on qualifie d'indépendants, je trouve les cordonnées d'une personne qui renvoie fort bien à son site (ce lien) et qui précise sa situation.

 

D'un point de vue strictement légal, je crois qu'il y a là une forme de détournement de procédure, mais ce n'est pas le sujet. La situation est la suivante, si j'ai bien saisi. Un moniteur diplômé, disposant de son autorisation d'enseigner (visite médicale), crée une structure juridique, une personne morale qui fait de lui un agent économique. Cette structure peut être celle toute récente d'auto-entrepreneur, mais pas obligatoirement. Pouvant établir des factures (hors TVA. Art.293B du Code général des impôts), il propose ses services à des auto-écoles pour venir renforcer temporairement leurs effectifs, remplacer une personne momentanément empêchée, assurer une prestation d'enseignement. Il précise également qu'il ne s'adresse qu'aux auto-écoles, et pas aux particuliers, donc dans le strict cadre de la réglementation en vigueur.

En revanche, il ne nous dit pas s'il est déjà salarié d'une auto-école, ou s'il est aussi exploitant, et si cette activité lui sert à rentabiliser un véhicule qui roule trop peu... On ne sait non plus rien de la manière dont il a résolu le problème de l'assurance obligatoire.

Souplesse, réactivité, rapidité d'intervention, les arguments ne manquent pas pour soutenir une telle initiative.

 

Ce qui me fait pourtant craindre le pire dans cette initiative tient en quelques mots: “ pas de formalités d'embauche ”. C'est bien là que le bât blesse, car cela ouvre la porte à la réalisation d'un des fantasmes d'un grand capitaine d'industrie français qui déclarait, il y a quelques années, rêver “ de l'entreprise sans usines, et de l'usine sans salariés ”.

En effet, cette situation ouvre toute grande la porte à l'externalisation de la force de travail, à la transformation du statut de salariés (tout de même un peu protecteur et entrainant des responsabilités pour l'employeur) en statut d'entrepreneur soumis à la concurrence, cette concurrence qui ne ferait que se transposer des auto-écoles (donneurs d'ordre) vers les enseignants (leurs prestataires de services).

 

De plus, ne s'adressant qu'aux professionnel, le moniteur en question ne remet nullement en cause le système actuel où l'élève est lié à son auto-école dans la mesure où il représente pour elle, encore plus qu'un client (qu'on espère le plus fidèle et le plus solvable possible), une place d'examen, cette denrée plus rare et plus précieuse que tout. Je n'exagère pas, car quelle est la revendication première des auto-écoles? Plus d'inspecteurs pour plus de places, ou plus de places grâce à plus d'inspecteurs, ce qui permet de satisfaire les désirs des élèves de “ tenter leur chance ” tout en se garantissant des heures de conduite à facturer.

 

Notre action, notre combat si j'ose dire, ne va pas dans ce sens, même si nous considérons qu'on peut aussi préférer le statut d'intérimaire à toute autre situation.

Pour ce qui nous concerne, la priorité est de rendre leur liberté aux élèves, de faire disparaître ce principe, que rein ne justifie, au terme duquel seules des auto-écoles agréées sont en mesure de dispenser un enseignement convenable. Nous avons tous vu ces “ salles de code ” bondées, sans aération, avec le projecteur qui tourne en permanence; nous avons tous vu ces leçons “ calibrées ” pour que l'élève, après vingt à vingt-cinq heures de conduite où on a suivi un rythme plutôt lent, mis devant des situations difficiles se trouve tout à coup complètement débordé et comprenne qu'il lui faudra encore beaucoup d'heures; nous connaissons tous ces leçons qui ne sont en fait que des promenades d'où les élèves sortent en se demandant si ils ont appris quelque chose.

Et tout cela sans possibilité d'aller voir ailleurs ciment les choses se passent.

 

Avec un moniteur indépendant, on peut prendre une ou deux heures de leçon, on peut poursuivre une formation plus longue, on peut faire, à la demande, un “ examen blanc ”, on peut arrêter sa formation, la reprendre, changer... On n'est lié à rien ni à personne, puisque ce n'est pas le vendeur qui détient la clef, celle qui donne le droit d'aller passer son permis. Car qui dit moniteur indépendant dit “ candidat libre ” (les candidats des auto-écoles ne sont donc pas libres?), avec une autre prise de responsabilité de la part des élèves qui ne peut pas nuire à leur cursus de formation.

 

 

Bon courage.

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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 16:51
Dans mes promenades sur la toile, je tombe parfois sur des choses assez intéressantes, dont je n'arrive pas toujours à trouver la source. Par exemple, cette newsletter qui semble émaner d'un organisme plus ou moins commercial. C'est de l'info, ça vaut toujours la peine d'être lu.

Bon courage.
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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 22:46
L'affaire couve depuis pas mal de temps, née du désir de faire quelque chose, et de la frustration de ne pas savoir comment faire.

L'ambition des créateurs de ce blog est simple: elle est d'ouvrir un espace de dialogue, un lieu de libre et utile rencontre entre des moniteurs d'auto-écoles, des enseignants de la conduite qui se veulent dignes de cette appellation; mais ce lieu est aussi (et surtout?) ouvert aux élèves en cours de formation qui demandent conseils, aide, idées pour devenir de meilleurs conducteurs, ou qui ne savent plus comment se sortir de situations difficiles vis à vis de le réglementation, ou vis à vis de telle ou telle auto-école.

Nous n'espérons qu'une chose: nous rendre utiles, mais c'est déjà beaucoup.

RH
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